Ego... Bonheur...
Alors on les combat, par tous les moyens. On leur demande de s’abstenir, de ne pas se révéler au grand jour. On les supplie de nous laisser vivre, de nous permettre de respirer, de grandir. On les incite à ne pas nous mettre des bâtons dans les roues. Mais elles s’accrochent encore et encore. Elles en deviennent indéracinables, insaisissables, incontrôlables. Elles peuvent nous détruire si on y prête trop attention.
C’est au moment où on peut enfin être heureux, où l’on pourrait finalement toucher ce bonheur qui peut sembler inaccessible, que l’on saborde tout, que l’on envoie tout valser par le fond. Avoir confiance, ne pas douter car le bonheur est à la porté de chacun. Mais pas n’importe lequel. Celui qui se façonne, qui se polit. Celui que l’on travaille jour après jour. Celui que l’on affine par l’écoute et la réflexion.
Oui, le bonheur est pour chacun !